Une autre façon de voir la guerre
Autrefois, les peintres venaient sur le champs de bataille pour essayer de grâce à leur tableaux de faire apparaître les horreurs des champs ou comme ils paraissaient à certains la “beauté” de la guerre.
Lorsque l’heure des peintres fut révolue, vint l’heure des photographes et des journalistes, puis celle des cameraman.
Actuellement, l’heure est aux blogueurs . Cela ne revient pas à dire que les cameraman, journalistes et photo reporters sont désormais excluent du jeu, mais les militaires ont réalisé qu’il était plus intelligent de créer leur espace sur le net afin que ceux qui décident de s’y attarder aient un sentiment de liberté d’expression et de pensées… Une vraie utopie lorsqu’on prend le temps d’observer les guerres contemporaines.
Ils peuvent donc désormais se permettre de bloquer les journalistes tout en publiant des informations qui paraîtront libérales et franches. Nous découvrons juste une nouvelle face de la guerre médiatique.
Les premières expériences dans le domaine ont été avec succès réalisés par l’armée américaine lors de la guerre en Irak en 2003. Il faut dire que les irakiens leur ont bien rendu la pareille de nombreux blogs irakiens ont vu le jour pour s’opposer aux blogs américains. L’un d’entre eux, Salam Pax géré par des civils a atteint un tel niveau de popularité qu’il a fini par être cité par des journaux à la réputation de fer comme The Guardian.